lundi 1 septembre 2008
Einstein et l'économie parallèle tunisienne
Le ramadan n'est pas avare de révélations. En voici une qui m'a sauté à l'esprit au détour d'une promenade d'avant chakan l'iftar: l'économie parallèle tunisienne est einsteinnienne.
Comme Einstein, les vendeurs à la sauvette dans nos rues ont inventé le principe de la division infinie du temps. Il pleut, voici des parapluies. Il reste trente minutes avant le Moghreb, voici un pain chaud.
Les "tawa jé" et les "para" "para" sont des produits qui satisfont les attentes des plus petites sections du temps. Le pain sghoun, les yoyo freshk ne sont pas saisonniers, ils sont "minutals" ou "secondiques", en un mot ils sont einsteino-tunisiens.
Comme Einstein, les vendeurs à la sauvette dans nos rues ont inventé le principe de la division infinie du temps. Il pleut, voici des parapluies. Il reste trente minutes avant le Moghreb, voici un pain chaud.
Les "tawa jé" et les "para" "para" sont des produits qui satisfont les attentes des plus petites sections du temps. Le pain sghoun, les yoyo freshk ne sont pas saisonniers, ils sont "minutals" ou "secondiques", en un mot ils sont einsteino-tunisiens.
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3 commentaires :
nsit il malsou9a
looool
je ne vois pas le rapport avec Einstein :))
Decidement, les poissons deviennent inabordable chez-nous. Heureusement qu'on a 1400 Km de cotes dans ce pays.
C'est plus un poisson, c'est devenu MONSIEUR Poisson. Qui impose tout le respect, et l'admiration.
Sans parler de Monsieur Banane, toujours au premier plan. On dirait qu'on manque de fruits dans notre Bled pour que Monsieur Banane debarque depuis l'Afrique et faire le VIP chez-nous!
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